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Le Rosaire
Le mois d'octobre est le mois du Rosaire
Le Rosaire

Le chapelet, un petit chapeau
Au sens strict, le chapelet est un "petit chapeau" ou comme une couronne. On avait en effet coutume, au Moyen-Âge, de couronner de roses les statues de la Vierge, chaque rose symbolisant une prière, d'où le mot de rosaire.
Le "Je vous salue Marie" n'est pas apparu d'un seul coup. Cette prière à Marie est née peu à peu dans la piété de l'Eglise, pour ne se fixer dans sa forme définitive que vers 1500.
Pourtant, dès le 12e siècle, saint Bernard contribua à développer cette prière à Marie sous la forme naissante du chapelet ou du rosaire.
Et Saint Dominique au siècle suivant, en répandit l'usage, prescrivant à ses religieux de porter un chapelet à leur ceinture.
Le Psautier de Notre-Dame
Un rosaire comprend 150 "Je vous salue Marie", qui rappellent les 150 Psaumes, et on a longtemps appelé le Rosaire Psautier de Marie. Les 150 "Je vous salue Marie" furent partagés en trois parties, en l'honneur de la Trinité. Puis chaque partie en cinq dizaines, chacune étant précédée d'un Notre Père et suivie du Gloire au Père ou Gloria.
La dimension collective de la prière du Rosaire - ou "Psautier de Notre Dame" - se développa sous l'influence d'un dominicain ami des chartreux, Alain de la Roche. Il organisa la première confrérie de la Vierge, à Douai, en 1470.
Grâce aux dominicains, cette dévotion médiévale devint prière de toute l'Église : Sixte IV approuva la récitation du Rosaire en 1479. Un siècle plus tard, Pie V, dominicain élu pape, détermina la forme traditionnelle et actuelle du Rosaire et en fixa la structure autour des quinze mystères. Il institua la fête de Notre Dame du Rosaire en action de grâce après la victoire navale de Lépante sur les turcs, le 7 octobre 1571.
En 1887, Léon XIII revêtit la dévotion au Saint-Rosaire et la fête d’un nouvel éclat en promulguant un nouvel office et une nouvelle messe du Rosaire le 7è jour du mois.
Une « douce chaîne qui nous relie à Dieu »
Paul VI, en 1974, dans son exhortation apostolique "Marialis cultus", recommanda vivement la récitation du Rosaire, "résumé de tout l'Evangile". Jean Paul II, en 2002, dans sa Lettre apostolique "Rosarium Virginis mariae" propose d'enrichir cette méditation par cinq mystères lumineux.
"Résumé de tout l'Évangile" selon Paul VI, "douce chaîne qui nous relie à Dieu" selon Jean-Paul II, le Rosaire est une prière simple, dont le caractère répétitif ne doit pas évoquer un quelconque rite magique. C'est au contraire apprendre à avoir les yeux fixés sur le Christ, c'est s'abandonner à la confiance et au détachement. Le Rosaire est une véritable école de la confiance.