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Jésus est-il le Messie des Juifs ?
Oui, pour certains.
En Israël, des juifs - ultra minoritaires - considèrent que Jésus fut bien ce Messie que la quasi-totalité des juifs attendent encore ... Ces croyants, qui refusent d’être considérés comme chrétiens, se dénomment « juifs messianiques » dans la mesure où ils reconnaissent Jésus comme celui que les prophètes ont annoncé dans l’Ancien Testament. Les Évangiles racontent comment Jésus a pu être reconnu comme le Messie, notamment lors de son entrée à Jérusalem - que les chrétiens commémorent lors de la fête des Rameaux.
Non sans ambiguïté.
Il y a 2000 ans, les contemporains de Jésus attendaient un messie, c’est-à-dire un sauveur qui les délivrerait des Romains et des élites juives corrompues. Ils projetaient sur cette figure quasi mythique l’image d’un dirigeant parfait, un « pur » capable de rendre la justice tout en exerçant le pouvoir politique. Pour beaucoup, Jésus était le candidat idéal. Ne prêchait-il pas le Royaume des deux ? De cette confusion entre le sacré et le politique, Jésus a fait les frais. Il en est mort, Pilate ayant considéré qu’il menaçait l’ordre établi, sous la pression de l’élite sacerdotale de Jérusalem, jalouse de son rayonnement. Pour les tout premiers « chrétiens » - qui étaient tous juifs -, Jésus a incarné ce Messie divin. Non pas comme un chef politique, mais comme l’incarnation de la royauté spirituelle de Dieu dans les cœurs humains. Un « messie » qui accomplissait toutes les promesses de salut contenues dans l’Ancien Testament.