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Jésus est-il un produit commercial ?
oui !
Sur les podiums ou sur les trottoirs, l’image de Jésus a explosé ces dix dernières années. La croix, souvent galvaudée, émaille les bijoux des stars, le chapelet devient sautoir... Une vague relancée en 2004 par le film la Passion du Christ, de Mel Gibson. On a vu des célébrités comme Madonna ou Pamela Anderson exhiber des t-shirts « Jésus is my homeboy » (Jésus est mon pote), « .Jésus loves me » (Jésus m’aime). Adhésion aux valeurs universelles portées par le Christ, avec ou sans pied de nez à l’Église, subversion réelle, ou simple tocade ? Difficile d’analyser une telle mode. Quoi qu’il en soit, Jésus ne peut être réduit à un produit, lui-même ayant cherché à « promouvoir » un message.
« Le marketing ? C’est Jésus qui l’a forgé il y a deux mille ans. » La boutade de Mgr Vecchi, évêque de Bologne, a inspiré le publicitaire italien Bruno Ballardini pour son livre paru en 2006 : Jésus lave plus blanc. Ou comment l’Église a inventé le marketing. Il y fait de la Parole, du message évangélique, le produit vendu par la « multinationale » Église. Mais qu’en est-il de Jésus ? Il le présente comme le testimonial numéro un (c’est-à-dire le personnage qui prête son image à la publicité d’un produit), apportant la « garantie » du message évangélique. « D’autant plus crédible qu’il se présentait comme faisant partie intégrante du produit (le message évangélique) dont il avait démontré l’efficacité au moyen d’une démo (la Résurrection). » Un système imparable qu’aucun produit commercial n’a réussi à reproduire d’après le publicitaire. Jésus serait donc à la fois marketeur, produit, homme-sandwich, démonstrateur... Autant dire impossible à cantonner aux canons du marché !